L'objectif, sachant que toutes les carcasses n'ont pas été trouvées* est, pour la zone II :
https://www.google.com/maps/d/viewer?mi ... 00032&z=11 de rester sans cas et sans sanglier un temps certain.
Il me semble important de noter que dans le cas d'un élevage ou du sauvage, il y a des principes de gestion communs, vu la nature de l'agent causal, dont un : une vraie dépopulation pour une durée minimale sur une surface crédible, délimitée avec soin.
La zone noyau, du début, de 12.000 hectares n'existe plus, la zone infectée initiale de 63.000 hectares a explosé. Donc, la zone II actuelle couvre combien d'hectares, à ce stade, et a une population de sanglier résiduelle, estimée, à la louche**, de ?
Il me semble que si le message avait été bien plus clair, la zone II aurait pu être bien plus petite.
Il y a eu, certes, incontestablement, une gestion du problème. Et cette gestion doit être saluée, car cela est advenu, dans une des pires zones potentielles, mais il va falloir, un jour, qualifier cette gestion. Pour les chasseurs, comme les citoyens, européens, ce serait bien, aussi, de quantifier la somme des surfaces faisant l'objet d'une dépopulation en Belgique, en France et au Luxembourg... Je veux juste suggérer que pour un événement initial qui concernait soit 12.000, soit 63.000,
à ce stade, il va y avoir, une dépopulation sur combien d'hectares ? Je dis cela, car, pour ce genre d'agent causal, en faune sauvage, pour avoir un espoir , il faut passer au delà de certains concepts, dont celui de propriété, et ou, de chasse privée, ce que certains ont eu bien du mal à entrevoir, au début. Et cela se paye en surface ...
* On peut déjà citer les trois cadavres non retrouvés, du soi-disant début...
** On peut affirmer qu'il n'existe pas de méthode d'estimation scientifique possible pour ces animaux...