BCAE,
Comme d'habitude j'ai une lecture critique, voire négativiste !
Concernant la conditionnalité, je ris, je rigole puis je râle car on me prend pour un imbécile !
Qui va oser contrôler ? Pas le DNF soyez en certain, pas courageux et encore moins téméraire ! D'ailleurs, pourquoi l'agent se mouillerait-il quand l'Ingénieur est assis bien au chaud ?
Le texte est d'ailleurs clair : Le chapitre 8 fait 4 lignes et renvoie à d'autres textes !
Bref, le poisson est noyé dans l'eau, qu'elle soit de surface ou souterraine !
Ceci ne résoudra pas le problème du PG.
Il faut imposer de restaurer les haies et bocages, imposer des tailles maximales aux parcelles, favoriser les parcelles en longueur.
Interdire certains travaux la nuit, et, si on veut déchaumer de suite, imposer une culture valable en intersaison (pas de la moutarde qui ne vaut rien du point de vue alimentaire, donne un couvert humide, et disparaît à la première gelée !).
J'ai une solution imparable ! Conditionner les aides de la PAC à la restauration du biotope et les moduler de manière significative en fonction de la densité de PG présent ! Ceci, bien sûr, en tenant compte des spécificités régionales, la Famenne ou la Haute Ardenne n'est pas propice à la perdrix par exemple ! Je suis certain que les perdreaux, faisans et autres lièvres seraient aussi choyés, voire plus, que les BBB !
Dans le même ordre d'idée, on devrait imposer à nos "ingénieurs " du DNF de reconstituer les populations de Petit Tétras et de Gélinottes, dans les domaniaux et communaux ! Sanction à la clé en cas d'échec : C4, le formulaire bien sûr, pas l'explosif ! Alain