thierry a écrit:Se limiter après le tir d’un gibier, à s’assurer où est entrée et où est sortie la balle est une bonne démarche mais sans autre forme d’investigations c’est du gaspillage d’informations indiscutables et concrètes, assister au dépeçage, récupérer le projectile s'il est présent et se rendre compte des dégâts internes occasionnés par la balle permet souvent de se poser des questions, de revoir ses choix de calibres et de projectiles mais également de faire des tirs « propres » occasionnant le moins possible de souffrances à l’animal prélevé, en somme essayer de tuer net
N'étant pas médecin ou médecin légiste, je ne me permettrai pas de tirer des conclusions qui dépassent mes compétences, peut-être que vous oui ?
Thierry
je ne pense pas qu'il faille aller jusque là pour savoir s'en rendre compte. Mais l'idée d'apprendre à connaître comment son arme tue, et de là le voir par soi-même ensuite sur le gibier, peut apporter quelque chose.
En ce qui concerne la chasse à l'arc, je peux vous assurer que c'est aussi important que de bien connaître l'anatomie du gibier que l'on se propose de chasser.
Toutes les armes de chasse ne se comportent pas de la même manière sur tous les gibiers et avec tous les types d'arc et matériels de chasse dispo.
Si vous pensez viser les zones vitales d'un ours ou d'un gibier africain comme vous pensez vouloir (savoir) le faire sur un de nos gibiers, vous risquez d'être surpris.
De là, ce qui est vrai dans le cadre de la chasse à l'arc, pourrait aussi l'être pour la chasse à l'arme à feu, à moins que ce soit une erreur de le penser.