Alain Vilet, vous avez raison.
Alors que, dans le parti politique et dans la verte province, deux députés à haut potentiel connaissant parfaitement la chasse et l'agriculture, à savoir Josy Arens et Dimitri Fourny, étaient motivés pour reprendre le relais. Cuisine politique et stratégie politique ont fait que c'est le ministre que nous connaissons, qui dans ces domaines de chasse et agriculture avait des compétences pour le moins lacunaires, qui a été choisi.
Heureusement que ce ne sont pas les présidents de partis politiques qui désignent les pilotes d'avion. Sinon, un employé communal tondant les pelouses pourrait être désigné pour piloter un Boeing, pour autant que cela entre dans une stratégie de parti.
Alain Vilet, si on limitait les surfaces de maïs au sud du sillon Sambre et Meuse, les blaireaux et les sangliers iraient faire des dégâts aussi conséquents dans d'autres cultures. La faim les y conduirait.