Sagittaire a écrit:Si le loup pur est protégé, qu'en est-il des hybrides ??
Bonjour@tous,
Je ne suis pas avocat, cela dépend du juge, si il le considère comme un hybride ou un chien, pour ce dernier, je pense que l'on risque une condamnation pour cruauté envers un animal domestique, si il le considère comme un hybride???
Ce qui sera intéressant, c'est ce que vont faire et plaider la Région wallonne et les escrolos? Surtout si l'ADN nous dit que c'est un bâtard.
Pour la France, au vu des analyses des éleveurs français (100 % hybrides pour tout les échantillons exploitables), je pense que ça va commencer à bien tomber! D'ailleurs, ils plaident pour une analyse ADN systématique sur les "loups" abattus en défense des troupeaux et en battues administratives, pour que les hybrides soient retirés du plan de tir qui est de 40 (de mémoire, du 01/07/2017 au 30/06/2018).
Maintenant que les éleveurs et chasseurs savent que l'ONCFS ne procède qu'a une analyse mitochondriale, qui ne donne que la lignée maternelle (50% de l'ADN), le père peut très bien être un caniche abricot que l'on ne le verrait même pas
Et qu'ils sélectionnent les gènes loups. En cas de procès mon humble avis, une analyse fiable à 50% ne tiendra pas la route, je pense que les avocats des éleveurs et des chasseurs qui vont se faire prendre à tirer un "loup" illégalement et se retrouver devant la justice, vont s'engouffrer dans cette brèche.
L'ONCFS est au pied du mur, d'ailleurs, elle ne communique plus les résultats ADN des "loups" tués sur le réseau routier ou tirés légalement, c'est dire !!! La preuve, ils évacuent les cadavres très rapidement, pour éviter que des chasseurs et éleveurs ne procèdent à des relevés d'échantillons.
L'histoire est simple, on cache la vérité depuis 20 ans; tout ce qui intéresse l'ONCFS c'est que ces loups, ou non, bouffent du grand gibier, quitte à sacrifier le pastoralisme alpin et l'élevage en prairie de plaine.
Stéphane